Publié le 21/12/2022
La Chapelle-d’Angillon. Une nouvelle association culturelle à la Chapelle d’Angillon. L’Association culturelle de la Chapelle-d’Angillon (ACCA) vient de voir le jour. Elle a pour but et vocation de créer des liens entre les habitants du village.
Cette association est née d’une idée d’Emmanuelle Cesari-Toudert, Chapelloise de cœur revenue vivre dans son village d’adoption il y a trois ans, après avoir travaillé dans différents pays européens. « En revenant vivre dans ce village où j’ai de merveilleux souvenirs d’enfance, j’ai été très dépitée de constater qu’il avait perdu beaucoup de sa vie commerciale et sans doute sociale d’avant. Dans ma jeunesse, il y avait par exemple onze cafés dans la rue principale, ainsi que de nombreux commerces. Je souhaite faire redécouvrir leur village à ses habitants par le biais de notre nouvelle association ».
L’élément déclencheur a été sa rencontre avec Sabine Amelot, qui a grandi dans le village avant de vivre durant vingt-sept ans au Canada. Récemment, Emmanuelle, et son mari Tarik, ont réuni chez eux vingt-deux personnes de la Chapelle qui souhaitent s’investir dans cette nouvelle aventure.
L’histoire du village
L’ACCA souhaite favoriser la transmission de l’histoire et de la mémoire du village et ses alentours, faire connaître le village par des visites guidées et par des sorties natures et découvertes, et une archive numérique de La Chapelle-d’Angillon.
Pratique. Site internet :
aclachapelledangillon.fr.
bureau
Composition. Présidente : Sabine Amelot ; co-président : Jean-Louis Chabin ; co-président : Tarik Toudert ; trésorier : Maurice Cauchie ; trésorier adjoint : Laurent Gilet ; secrétaire : Emmanuelle Cesari ; secrétaire adjointe : Joëlle Pezard
Le faubourg d’Alsace avec le café Léger à gauche.
Sur une photo que nous rajoutons, nous nous trouvons au faubourg d’Alsace. Sur le côté gauche se trouvait le bar, épicerie et mercerie appartenant à Mr Léger.
Deux maisons plus bas existait également le commerce de Mme Moreau non visible sur la photo. (Peut-être dans les années 1960)
Onze cafés sur l’ensemble de la Chapelle, pas seulement sur la Grande rue, où il y avait le café de la Poste, chez Tintin et Le Chêne Vert. Je me souviens du café (invisible) qui était d’apparence une maison ordinaire, mais quand on rentrait c’était une épicerie et un café (dans la rue qui est maintenant appelée rue de la gare quand vous tournez à gauche avant le lieu d’où a été prise la photo). Ce qui fait déjà 3 cafés dans l’angle des rues.