La ville eut quatre portes : nous lisons qu’il y eut un acte de 1229 concernant la porte aux barreaux.

La porte d’en bas

A : l’une à l’est sur la rivière

La porte de Bourquanteau

B : au nord-ouest, sur la place actuelle de l’église

Le Bourquanteau. Cne de La Chapelle-d’Angillon. Les fauxbourgs de Bourquanteau, 1480 (A.D. 18-4 H, abbaye Saint-Sulpice de Bourges) ; Bourcanteau, 1600 (A.D. 18-E, seigneurie de La Chapelle-d’Angillon). Faubourg de La Chapelle-d’Angillon.

http://www.denisjeanson.fr/site_toponymie/lettre_b/lieux_bourg/bournan.html?string=Bourquanteau&submit=Recherche

La porte aux barreaux

C : donnant accès au château

La porte saint Jacques

D : faisait suite à la rue des Nourrissons. Elle conduisait à l’église qui était hors des murs, dans la prairie, près du château.

Plan de la Chapelle d’Angillon vers 1262

Statistique Monumentale du département du Cher – Canton de la Chapelle d’Angillon – Alphonse Buhot Kersers – 2013 – chez AàZ – p.13

La ville eut quatre portes, l’une est à l’est de la rivière, A, porte d’en bas ;
L’autre au nord-ouest, sur la place actuelle de l’église, B ;
Deux au sud :
L’une donnant accès au château s’appelait porte aux barreaux, ad barram, C ;
Enfin l’autre, D, faisait suite à la rue des Nourrissons et se nommait porte Saint-Jacques ; elle conduisait à l’église qui était hors des murs, dans la prairie, près du château.

Les portes furent détruites entre 1762 et 1765

A cette époque, la création de la route de Paris (RD 940) entraînera un déplacement des constructions et de la population vers l’ouest, à proximité de la nouvelle voie.

Rédigé par

Jérome Lasne

Imprimeur depuis 1981 et adore les livres...